Au Palais, la majorité socialiste a fait l'impasse sur la démocratie.

Conseil municial au Palais sur vienne:

 Au Palais, la majorité socialiste a fait l'impasse sur la démocratie.

 

Le but principal du dernier conseil municipal concernait l'élection d'un conseiller communautaire supplémentaire pour représenter le Palais à L'Agglo.

Suite à l'entrée de Chaptelat dans l'Agglo, faisant passer le nombre de sièges de 54 à 74, les sièges supplémentaires ont été répartis entre les communes membres, dont 1 pour notre commune. Il s'agissait donc d’élire le conseiller supplémentaire pour représenter les Palaisiens à Limoges Métropole. La représentation de chaque commune est fonction de sa population ; jusqu'à présent Le Palais avait 2 représentants à l'agglomération issus de la majorité municipale (2 socialistes : Mme le maire et le 1er adjoint M Geraudie). Cette élection était conforme au résultat des dernières élections municipales.

Rappel : au moment des élections municipales en 2014, les bulletins de vote comprenaient 2 listes de noms, l'une pour les conseillers municipaux, l'autre pour les représentants au conseil communautaire de l'Agglo de Limoges. Pour la 1ère fois, les représentants à l'agglomération étaient élus directement par les électeurs, selon le même système proportionnel que celui applicable à la répartition des sièges au conseil municipal. C'était un des engagements du candidat F Hollande, un progrès de la démocratie locale, même s'il reste peu représentatif de la réalité électorale.

Ainsi, en 2014, nous avions 2 représentants à élire à l'Agglo de Limoges, la répartition s'est faite comme pour le conseil municipal : 50% pour la liste arrivée en tête et les 50% restants répartis au prorata des taux obtenus pour la liste en tête et celle au plus fort reste. Pour 2 sièges, la liste du maire ayant obtenu 58,3% des voix et nous 41,7%,cela a donné 1 +1 pour la liste majoritaire.

Avec l'entrée de la commune de Chaptelat dans la communauté d'agglomération de Limoges à compter du 1er janvier 2017 et la redistribution du nombre de sièges dans chaque commune, Le Palais obtient maintenant 3 représentants au Conseil de l'Agglomération.

Si cela s'était déroulé en 2014, au moment des élections municipales la répartition pour 3 sièges aurait été 1 au titre des 50% et pour les 2 suivants à la proportionnelle au plus fort reste aurait été 1 pour les 58% de la liste de Mme le Maire et 1 pour les 42% de notre liste. Les trois représentants auraient été issus du suffrage direct.

En tant que tête de liste du groupe Le Palais Autrement, tout naturellement, Yvan Tricart a fait acte de candidature pour ce 3è siège en cours de mandat à l'Agglo. 

Mme le maire, comme le lui permettait la loi, en a décidé autrement. Il fut procédé à un vote interne par liste au Conseil et le groupe socialiste majoritaire à lui seul au Conseil a présenté M. Christophe Barbe, élu socialiste, qui a obtenu sur 29 conseillers municipaux les 15 voix socialistes, Yvan Tricart a bénéficié des 6 voix de notre groupe Le Palais Autrement, les 8 communistes se sont abstenus, sans débat. 

C'est une pratique que nous avons fermement condamnée car le groupe socialiste a décidé d'ignorer une large partie des Palaisiens et a montré à cette occasion un esprit de fermeture et de repliement sur soi regrettable. en se réservant la représentativité unique et hégémonique à l'Agglo, sans aucun partage démocratique, même pas avec ses alliés communistes au conseil ... à l'approche des périodes électorales de 2017 déjà très sujettes aux controverses, chacun jugera !!!...

Fait maison, décret bidon

Fait maison, décret bidon

En voilà une idée qu'elle était bonne : distinguer les restaurants qui cuisinent chez eux des produits frais de ceux qui assemblent des plats en kit fournis par l'industrie agroalimentaire. Tout le monde était d'accord. Les organisations professionnelles, soudain stupéfaites d'apprendre que 75 % de leurs membres s'approvisionnaient chez Metro

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Villepin : le piège

Villepin : « Faire croire que nous sommes en guerre est un piège »

« Il n’y a pas de contre-exemple, tout ce que nous savons de ce type de guerre menée depuis des décennies a conduit à l’échec, en particulier depuis l’Afghanistan » Pour l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac, le discours martial largement popularisé par Manuel Valls, le PS et l’opposition est une erreur.

 

C’est une voix discordante. Mais elle est la bienvenue. Invité dimanche du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, Dominique de Villepin a récusé l’idée « d’être en guerre », une expression abondamment utilisée par Manuel Valls, le PS et l’opposition depuis les attentats de vendredi soir. Or, pour l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac,« nous sommes dans une période où les mots doivent avoir du sens ».

« Une guerre ce sont deux États et deux armées qui se confrontent », justifie Dominique de Villepin, ce qui n’est pas le cas des terroristes qui ont agi à Paris et au Stade de France :

« Le fait [que les terroristes aient] utilisé des Kalachnikovs, des grenades, un certain nombre de munitions [ne] constitue pas une armée reconnue dans le cadre d’un État. En l’occurrence, nous avons des groupes fanatiques, un parti totalitaire. »

La nature de « l’ennemi » n’est pas le seul argument avancé par Dominique de Villepin pour refuser de se considérer en guerre. « Je ne veux pas faire le jeu de l’ennemi », ajoute-t-il en mettant en garde contre les conséquences de cette idée. Un« piège », selon lui :

« Quelle est la conséquence de cette idée  ? La première, c’est de déresponsabiliser les combattants terroristes qui se disent : ’Nous frappons, nous sommes des guerriers’. La seconde, c’est que nous légitimons qu’ils sont en guerre, qu’ils ont des objectifs de guerre et qu’ils veulent conquérir notre territoire, des positions. »

Ce n’est pas « parce qu’une bande d’assassins fanatiques vous déclare la guerre que vous tombez dans le piège de la surenchère », argumente-t-il. Surtout quand ces assassins « veulent nous diviser et pousser notre pays à la guerre civile ».

Tirons les leçons des engagements occidentaux au Moyen-Orient, demande l’ancien ministre des Affaires étrangères, qui s’était opposé en 2003 à la guerre en Irak :

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Conseil Municipal au Palais lundi 23 janvier 2017 à 18h30

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Conseil Municipal lundi 23 janvier 2017 à 18h3

(salle du conseil en Mairie).

Le dernier point du conseil est important