Pour une alternative au ''tout LGV''

 

Pour une alternative au ''tout LGV'' pour le centre de la France, Limousin compris, et la construction de lignes nouvelles LGV uniquement là où cela est nécessaire.


Il faut reouvrir le débat sur tout l'aménagement ferroviaire du centre de la France comprenant le Limousin ce qui n'a pas été le cas ni pour le débat LGV LP ni pour le débat POCL.

 

La perspective, qui ressort des études de RFF, annoncée par le ministère des infrastructures du transport dans une lettre aux financeurs de la LGV Limoges Poitiers, d'une réduction drastique du nombre de trains sur la ligne POLT (Paris Orléans Limoges Toulouse) passant de 11 allers-retours actuellement à 4 allers-retours, tous omnibus, condition obligatoire pour rendre viable le projet LGV Limoges-Poitiers a provoqué une véritable levée de boucliers.

 

Les prises de positions, depuis que cette lettre a été dévoilée, vont toutes dans le même sens.

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loi décentralisation Liaisons qui seraient maintenues

Lagazette.fr

TRANSPORT FERROVIAIRE

Avant-projet de loi décentralisation :

Liaisons qui seraient maintenues : Paris-Limoges-Toulouse (22)

Paris-Caen (27), Tours-Lyon (2), Caen-Tours (4), Nantes-Toulouse (6), Bordeaux-Lyon (2),, Paris-Clermont (16), Bordeaux-Marseille-Nice (12), Clermont-Marseille (2). Représentant moins de 100 trains/jour.

 

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    l’association des élus ''Anecr'' alerte sur les dispositions relatives aux Trains d’équilibre du Territoire

    Note 01:Liaisons supprimées : Paris-Trouville Deauville (6), Paris-Evreux- Serquigny (3), Paris-Rouen-Le Havre (48) , Paris-Granville(10), Paris-Amiens- Boulogne S/ Mer (29), Paris-St Quentin-Maubeuge/Cambrai (25), Paris-Montargis-Nevers (12), Paris-Vierzon-Bourges-Montluçon (9), Paris-Orléans-Tours (36), Charleville-Metz (4), Charleville-Hirson (2), Paris-Troyes-Belfort (30), Clermont-Béziers (2), Quimper-Nantes (2), La Rochelle-Bordeaux (2), Hendaye-Toulouse (10). Soit environ 230 trains/jour représentant la suppression de 70% des circulations.

    Liaisons qui seraient maintenues : Paris-Caen (27), Tours-Lyon (2), Caen-Tours (4), Nantes-Toulouse (6), Bordeaux-Lyon (2), Paris-Limoges-Toulouse (22), Paris-Clermont (16), Bordeaux-Marseille-Nice (12), Clermont-Marseille (2). Représentant moins de 100 trains/jour.

     

     

    Réunis le 19 décembre à Paris, plusieurs membres de l’Association nationale des élus communistes républicains (Anecr) ont exprimé leurs inquiétudes relatives au volet « transports » de l’avant-projet de loi « décentralisation ».

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    Alerte rouge sur 29 lignes ferroviaires

    Médias - le 20 Décembre 2012

    Alerte rouge sur 29 lignes ferroviaires

     

    29 lignes de chemin de fer, sur lesquelles circulent 230 trains par jour desservant des centaines de villes, sont menacées par un désengagement de l’état. Dans l’avant-projet de loi de décentralisation, elles ne seraient plus considérées d’intérêt national. Lire : Ca déraille, l’éditorial de Michel Guilloux.

    L’acte trois de la décentralisation doit être un des moments forts 
de la nouvelle présidence. Le projet de loi devrait faire l’objet de derniers arbitrages entre Noël et jour de l’An, avant d’être 
soumis à la représentation nationale en février. 
Une de ses dispositions met sur de bien mauvais rails l’ambition affichée, si le débat ne prend une tout autre ampleur d’ici là parmi tous les acteurs concernés, 
élus, syndicats et citoyens. Les élus communistes 
et républicains ont tiré le signal d’alarme : les articles relatifs aux trains interrégionaux pourraient se révéler désastreux. Le « transfert » de leur gestion nationale 
à l’échelon régional concerne plus des deux tiers de leurs dessertes quotidiennes. L’État s’apprêterait ainsi à lâcher 29 des 38 lignes qui, sur tout le territoire, contribuent 
à des déplacements domicile-travail et au désenclavement de régions entières.

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    réunification de la SNCF et RFF

    Répondre mieux aux besoins des usagers ?

    Le gouvernement va réunifier le

    transport ferroviaire

     

    ''L’unification pourrait permettre d’amplifier le plan de modernisation existant.''

     

    Lors d’une conférence de presse tenue hier, le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, a annoncé que le gouvernement avait choisi de mettre fin à la division entre la SNCF et Réseau Ferré de France – division qui date de 1997 – et de créer un nouveau « pôle ferroviaire public intégré ».
    Depuis 1997, pour se conformer aux exigences de l’Union européenne, les tâches de gestion de l’infrastructure ont été séparées des tâches d’exploitation. Un « gestionnaire d’infrastructures » (GI) a été créé, RFF, tandis que la SNCF gardait la responsabilité de l’exploitation des trains. Or, RFF n’a jamais eu les moyens d’assumer les tâches qui lui incombaient, et les déléguait donc… à la SNCF. La branche de la SNCF chargée de faire la maintenance des infrastructures, SNCF Infra, emploie d’ailleurs quelque 35 000 agents, alors que RFF n’en emploie que 1500.
    Le ministre souhaite mettre fin à cette «
    organisation incohérente », dans laquelle « celui qui a la responsabilité formelle de la gestion du réseau, RFF, n’a pas la capacité de l’exercer dans les faits. » La réforme ferroviaire à venir va donc « regrouper au sein d’une entité unique toutes les fonctions ayant trait à la gestion et à la maintenance du réseau. »

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