SNCF : Avec Macron, les trains prendront le car

SNCF : Avec Macron, les trains prendront le car

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Fin des trains de nuit et suppression de 23 lignes de TET (ex-Corail) dans les cartons de la SNCF : les conséquences de la loi Macron pèsent lourd sur le service public ferroviaire.

( cette carte du réseau TET qu'ils veulent supprimer)

Réseau routier au bord de l’asphyxie ? Qu’importe pour réduire une dette d’un milliard et demi d’euros, la SNCF réduit ses dessertes et Macron fait un pont d’or aux transporteurs routiers en libéralisant les autocars. Une course à l’économie qui se fait sur le dos des usagers, des em-ployés du service public et au détriment des logiques de sécurité. .../....  Pour la SNCF, l’adoption d’une politique conforme à l’austérité dans laquelle le gouvernement veut s’enfoncer un peu plus avec la loi Macron, en ouvrant totalement le ferroviaire à la concurrence et ce malgré les engagements du précédent ministre des Transports, a des conséquences destructrices non seulement sur la qualité du service rendu au public, dénonce la CGT cheminots Paca mais également en terme d’emplois.

La réforme du service de transports publics ferroviaires de voyageurs passe donc par la sup-pression de lignes et de dessertes

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Fin des réserves foncières : les riverains voient le bout du tunel

 Fin des réserves foncières : les riverains voient le bout du tunel   Philippe Roch le 29-11-2016

La Coordination des Riverains et Impactés (CRI) a été entendue. Les propriétaires de terrains situés le long du tracé « fantôme » de la LGV Poitiers-Limoges se retrouvent de nouveau maîtres de leur bien.

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Urgence POLT au ministère

Accueildu 20-12-2011  l'article du journal →
Transport ferroviaire :Urgence ligne Paris Orléans Limoges Toulouse

L'association ''Urgence POLT'' reçue au Ministère de l'Ecologie et des Transports

imgp2759*Délégation composée de : Jean-François MARTINET (Association Périgord Rail Plus), Jean-Claude SANDRIER (Président, et député), Daniel GENESTE (membre du bureau, syndicat CGT, Dominique ORLIAC (députée du Lot), Jean LAUNAY (député du Lot), Jean-Jacques LOZACH (sénateur, président CG Creuse), Louis PINTON (sénateur, Président CG Indre), Michel VERGNIER (député maire de Guéret), Jean-François MUGUAY (Maire de la Souterraine), et Didier FLEURET (adjoint au Maire de Châteauroux).

 

POUR LA LIGNE FERROVIAIRE PARIS ORLEANS LIMOGES TOULOUSE, IL FAUT POURSUIVRE LA MOBILISATION

 

Le 14 décembre 2011, une délégation* de l’association Urgence Ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse a été reçue au Ministère de l’Ecologie et des Transports par Messieurs PEYRAT, conseiller auprès de la Ministre, et CORDIER, conseiller technique

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LGV ; la CRI sur le terrain

LGV ; la CRI sur le terrain

Après les rencontres au Palais-sur-Vienne, Peyrillac, Bellac, Chaptelat, Saint-Jouvent, St Bonnet de Bellac, Blond, Vaulry, Bussière Poitevine, la CRI était en débat public ce jeudi 6 décembre à Peyrat de Bellac .

Une assistance nombreuse, attentive aux arguments de Claude Peyronnet, le Conseiller Général du Canton de Bellac ,de Stéphane Lafaye Président de la CRI et de Marcel Bayle qui comme juriste et membre de la CRI montrait pourquoi le projet LGV Limoges Poitiers devait être abandonné

A la tribune M Bayle , S Lafaye, et C Peyronnet

L'Echo de ce mardi 11 décembre reprend l'essentiel des arguments portés par la CRI : decouvrez la page en cliquant sur l'image de l'ECHO

 

Guillaume PEPY, Président SNCF

Guillaume PEPY, Président SNCF

lors du colloque « L’évolution du modèle économique du transport de voyageurs » mai 2014

Après l'adoption de la réforme ferroviaire confortant le rôle du président de la SNCF Guillaume PEPY, ce dernier précise ses objectifs lors du colloque sur l’évolution du modèle économique du transport de voyageurs en France

Son point N° 1 est la priorité au réseau existant et aux transports de la vie quotidienne avec une recommandation : ne pas construire de ligne à grande vitesse supplémentaire.

Ces deux orientations découlent du constat que la France est dans une impasse en matière ferroviaire : aujourd'hui, plus de la moitié des 850 TGV qui circulent chaque jour en France sont déficitaires, amenant à se poser la question de supprimer des services TGV alors que 130 milliards d’euros ont été investis dans ce réseau grande vitesse .

 Pour lui, le statu quo est impossible :

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