Blog de Yvan Tricart
Europe Ecologie-les verts et le POCL
Les groupes Europe Ecologie-les verts des Conseils régionaux d'Auvergne, du centre, et du Limousin. précisent leurs positions sur le POCL
En pièce jointe le cahier d'acteur déposé pour le débat public →
le préambule:
“Un vrai débat public sur la ligne à grande vitesse Paris-Orléans- Clermont-Ferrand-Lyon ne peut pas se contenter de porter uniquement sur les quatre grandes familles de tracés proposées : il doit en premier lieu interroger l’opportunité du projet dans sa globalité.
Pour les écologistes, l’enjeu essentiel en matière de transport ferroviaire réside dans les déplacements de la vie quotidienne.
POCL: la CRI le 9 novembre à Guéret
La CRI a tenu à être présent à la seule réunion qui se tiendra en Limousin pour faire entendre sa différence
Le 4 novembre 2011 à Guéret
Une remarque préalable :
Représentant une coordination du Limousin (la CRI) regroupant des associations d'usagers, des élus et des citoyens directement ou indirectement touchés par le projet LGV Poitiers-Limoges, nous regrettons vivement que l'espace de réflexion lié à ce projet et retenu par RFF, n'englobe pas le Limousin. Notre région avait toute sa place dans ce débat en raison de son appartenance, comme l’Auvergne, à l’espace central français. Considérer la LGV Poitiers-Limoges comme un fait acquis est une erreur, car actuellement plus de la moitié des financeurs se sont retirés du projet qu'ils jugent préjudiciable sur le plan humain, environnemental, financier et même politique. (la suite de l'article sur le site de la CRI): http://cri.lgv.limogespoitiers.info/débat public le mercredi 9 novembre à Saint-Bonnet de Bellac.
Projet POCL : mal engagé
Projet POCL : la rénovation de la ligne existante est de plus en plus évoquée
Le débat public sur la LGV POCL est lancé et les participants expriment leurs préférences, chacun défendant ses intérêts particuliers
Demain une réunion aura lieu à Guéret dans le cadre de ce débat public salle andré Lejeune, avenue René Cassin
« Chacun défend ses intérêts particuliers, on peut le comprendre, relève Serge Godard, mais ce qui me surprend, c'est que chacun pose comme un ultimatum le passage de la future ligne à grande vitesse à 20 ou 30 km de sa ville, sans être choqué par le fait que cette LGV se retrouverait à 140 kilomètres au nord de Clermont-Ferrand ».